Ce n´est un secret pour personne, que nous souffrons depuis un an des retombées d´une pandémie qui est survenue telle une foudre tombant d'un ciel sans nuage, sans prévenir, sans que personne ne puisse imaginer un seul instant qu´une telle catastrophe est possible...
Habituellement,
nous essayons de présenter plutôt des images positives, quand il y a de
l´action, de l´engagement, de l´espoir, de la vie... Tout compte fait,
les images ci-dessous sont du même acabit. Même s´il ne s´agit pas de
spectacles, ni de répétitions. Ce sont des images de la vie de tous les
jours, la pandémie ici est une catastrophe secondaire, minime au regard
des défis à relever tous les jours.
L´habitat. Une question
cruciale pour nos jeunes. Nous voyons alors naître une mini cité, faite
de préfabriqués, de qualité déplorable, parqués à la va vite au dessus
du bidonville, en pleine décharge, un bidonville naissant sur un
bidonville...Roman est tout content d'avoir enfin pu faire venir un
petit module et l'installer dans la "nouvelle cité". Il faudra une
sérieuse remise en état, et peut être, du moins jusqu´a l´hiver
prochain, il aura ou dormir avec sa femme, ses deux enfants, et le troisième qui est en route.
Il serait illusoire de croire que l´on
peut changer le cours des choses ici... Alors c 'est avec d'autant plus
de conviction que nous revenons sur nos tournées, sur nos
échappées estivales, lorsque nous étions logés comme des rois dans des
festivals, que ce soit dans des gymnases, des Formules 1 ou même des
châteaux, des vrais, comme celui de Buno à Gironville...
Si c´était à refaire, on le referait tout de suite.
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